Victoire la Rouge

978-2-36266-652-0

Nouveau

240 pages • 11 x 17,5 xm

 

Georges de Peyrebrune, préface de Julie Floury

 

Orpheline, surnommée « la Rouge » en raison de sa chevelure flamboyante, Victoire est successivement engagée par de riches paysans, une famille bourgeoise puis un homme solitaire. Ces changements de place sont rythmés par ses grossesses, conséquences de viols, ses maîtres refusant tous d'employer une fille-mère. C'est la crainte d'être encore renvoyée qui amène Victoire à étouffer son deuxième enfant, après avoir abandonné son premier-né à l'Assistance Publique. Dénoncée par des voisins, elle est incarcérée cinq ans pour infanticide. À sa sortie de prison, Victoire tente de faire oublier son passé.

 

Georges de Peyrebrune née en 1841 en Dordogne, fille non reconnue par son père, dont elle prendra le prénom, la fillette reçoit comme patronyme le nom de son hameau natal : Peyrebrune.
Éveillée très tôt à l’écriture, elle se rend seule à Paris après quelques années d'un mariage malheureux. Elle publiera une trentaine de romans et connaîtra la notoriété. Dreyfusarde, elle est aussi féministe et fait partie du premier jury du prix Femina en 1904.
Elle meurt dans la pauvreté et l’oubli en 1917.

 

Existe aussi au format e-pub.

8,70 €

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Victoire la Rouge

Victoire la Rouge

240 pages • 11 x 17,5 xm

 

Georges de Peyrebrune, préface de Julie Floury

 

Orpheline, surnommée « la Rouge » en raison de sa chevelure flamboyante, Victoire est successivement engagée par de riches paysans, une famille bourgeoise puis un homme solitaire. Ces changements de place sont rythmés par ses grossesses, conséquences de viols, ses maîtres refusant tous d'employer une fille-mère. C'est la crainte d'être encore renvoyée qui amène Victoire à étouffer son deuxième enfant, après avoir abandonné son premier-né à l'Assistance Publique. Dénoncée par des voisins, elle est incarcérée cinq ans pour infanticide. À sa sortie de prison, Victoire tente de faire oublier son passé.

 

Georges de Peyrebrune née en 1841 en Dordogne, fille non reconnue par son père, dont elle prendra le prénom, la fillette reçoit comme patronyme le nom de son hameau natal : Peyrebrune.
Éveillée très tôt à l’écriture, elle se rend seule à Paris après quelques années d'un mariage malheureux. Elle publiera une trentaine de romans et connaîtra la notoriété. Dreyfusarde, elle est aussi féministe et fait partie du premier jury du prix Femina en 1904.
Elle meurt dans la pauvreté et l’oubli en 1917.

 

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