Trois sœurs rivales

978-2-36266-333-8

Nouveau

176 pages • 11 x 17,5 xm 

 

Marie-Louise Gagneur, préface d'Isabelle Pasquet

 

Henriette, Renée et Gabrielle vivent avec leur père le baron de Charassin, au château de Domblans, où elles s’ennuient à leurs travaux d’aiguille.
Les trois sœurs, isolées à la campagne, ignorent tout des tourments amoureux et des manipulations dont sont capables les coureurs de dot. Aussi, quand M. de Vaudrey arrive au château, il comprend très vite qu’une bonne dot lui est acquise et qu’il ne lui reste qu’à choisir une des sœurs. Il se décide pour Henriette, l’aînée, mieux dotée que ses cadettes. Gabrielle, le cœur brisé, accepte d’épouser un vieil ami du baron.
Renée tire le triste bilan de ces unions désastreuses : pour elle, seule l’éducation des filles les libèrerait de leurs illusions sur le mariage, institution qui n’a d’autre objectif que de les livrer au bon vouloir d’un homme.

 

Marie-Louise Gagneur publie des essais, des nouvelles et plus de vingt romans parmi lesquels ce feuilleton paru en 1861. Entrée à la Société des Gens de lettres, elle interpelle l’Académie française sur la féminisation des noms de métier. Elle devient chevalière de la Légion d’honneur en 1901. 

 

Existe aussi au format e-pub.

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Ricochet

"Le ton est vif, le vocabulaire et les tournures bien sûr d’époque. Une découverte extrêmement intéressante et une nouvelle collection à signaler particulièrement."

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Trois sœurs rivales

Trois sœurs rivales

176 pages • 11 x 17,5 xm 

 

Marie-Louise Gagneur, préface d'Isabelle Pasquet

 

Henriette, Renée et Gabrielle vivent avec leur père le baron de Charassin, au château de Domblans, où elles s’ennuient à leurs travaux d’aiguille.
Les trois sœurs, isolées à la campagne, ignorent tout des tourments amoureux et des manipulations dont sont capables les coureurs de dot. Aussi, quand M. de Vaudrey arrive au château, il comprend très vite qu’une bonne dot lui est acquise et qu’il ne lui reste qu’à choisir une des sœurs. Il se décide pour Henriette, l’aînée, mieux dotée que ses cadettes. Gabrielle, le cœur brisé, accepte d’épouser un vieil ami du baron.
Renée tire le triste bilan de ces unions désastreuses : pour elle, seule l’éducation des filles les libèrerait de leurs illusions sur le mariage, institution qui n’a d’autre objectif que de les livrer au bon vouloir d’un homme.

 

Marie-Louise Gagneur publie des essais, des nouvelles et plus de vingt romans parmi lesquels ce feuilleton paru en 1861. Entrée à la Société des Gens de lettres, elle interpelle l’Académie française sur la féminisation des noms de métier. Elle devient chevalière de la Légion d’honneur en 1901. 

 

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