J'aime pas la danse

Dans la presse :

Causette, juin 2015
« Vive les filles déterminées ! »

Quoti, juin 2015
« Un petit album plein d'humour sur la liberté de choix et l'affirmation de soi. »

France Info - Les enfants des livres, 12 juillet 2015
« Le dessin lorgne du côté de Tony Ross, une référence, le récit est rondement mené. »

Des chroniques sur les blogs

Ricochet
« La fraîcheur des illustrations et l’enchaînement percutant de bons mots contenteront à coup sûr les yeux et les oreilles de jeunes lecteurs aspirant à une société un tantinet moins stéréotypée et à une dose livresque de bonne humeur ! »

La mare aux mots
« J’aime PAS la danse est de ces albums qui, sous leurs airs de ne pas y toucher, ont en fait un petit message à délivrer. Et tout ça dit grâce à des personnages aux mimiques hilarantes, à des textes aux sonorités presque poétiques et à une chute étonnante, bref avec humour et talent ! »

Enfantipages
« Avec des mots qui chantent et s'amusent, Stéphanie Richard dénonce gentiment les passions des mères qu'elles répercutent sur leur descendance, et que la susnommée descendance subit ! »

S'amuser ensemble
« On a aimé : l'humour du récit, les illustrations, notamment les danseuses toutes en jambes et en courbes, à l'exception de l'héroïne tout entortillée ! »

Sophie lit
« C’est frais et drôle, et ça dit qu’à tout âge, on est autorisé à ne pas être d’accord avec ses parents, à affirmer ses préférences et à n’en faire qu’à sa tête. »

Les lectures de Liyah
« Cette lecture pour enfants est un joli pied de nez à ceux qui penseraient que les filles doivent obligatoirement aimer la danse. »

Livres et merveilles
« Le texte de Stéphanie Richard est succulent. Truffé de rimes ingénieuses, il caricature astucieusement l'univers des cours de danse chez les enfants. Les illustrations de Gwenaëlle Doumont viennent appuyer l'ensemble. »

Portrait de Stéphanie Richard par Mathilde Vermer

« Stéphanie se réjouit aussi de s’associer à une aventure qui bouscule les normes sociales, les attentes qu’on exprime pour les petites filles et les petits garçons. Les normes, elle ne s’en cache pas, l’ont toujours gonflée. Quel bonheur, ainsi, de participer à les faire bouger... Et quel bonheur, pour les petits, d’avoir accès à une littérature qui leur donne plus de liberté, qui les autorise à suivre leurs envies et écouter leurs rêves ! »